Le Bonheur Est Dans Le Pré (Mais Pas Dans Votre Poche Alors Allez Le Chercher !)
Mon silence n'aura pas duré longtemps, eh oui, nouvel ordre, c'est aujourd'hui. Vous savez comme je suis bavard
et comme je ne peux m'empêcher de penser à tous mes petits moutons qui attendent bien sagement que je reprenne le fil de me articles.
Donc aujourd'hui, petite réflexion philosophique sur le relationnel. On peut classer les gens de pleins de façons différentes mais celle qui me parait la plus pertinente en ce moment est celle ci :
Appelons l'individu A la personne qui parle et l'individu B l'être qui écoute.
L'individu A a un sens de la communication particulièrement développé. Lors de soirées ou de fêtes, c'est lui qui met l'ambiance, qui anime. Certains pourraient le qualifier de joyeux luron. Par conséquent, c'est lui qu'on voit le plus, c'est lui qu'on remarque au premier regard. Les autres s'agglutine autour de lui. Mais l'individu A ne voit son importance validée que dans les moments heureux. C'est dans ces instants qu'on a besoin de lui, qu'on essaie de rester avec lui.
De plus, tout lui sourit. Il sait si bien parler, il manipule tellement bien les mots, que l'amour ne manque pas, l'amitié afflue. L'individu A trouve rapidement quelqu'un avec qui partager sa vie, car, au fond, c'est ça le plus important. Le bonheur est fait pour être partagé... Le soucis, c'est que quand les ennuis arriveront, l'individu A les dédramatisera, il les réduira à néant, faisant des plus immenses montagnes un gravillon, sans pour autant les résoudre. Les bons et les mauvais moments s'enchaineront jusqu'au moment où cela ne pourra plus continuer.
Et c'est à cet instant précis qu'intervient l'individu B. Vous savez ? Celui qui écoute... Il est seul le plus souvent, lui, on ne le comprends pas, on ne cherche pas à savoir ce qu'il ressent, ce qu'il éprouve, ce qu'il aime ou ce qu'il déteste, ce qui va ou ce qui ne va pas. Il a un rôle prédéfini, c'est d'être toujours au service des autres, à l'écoute de ses amis, et c'est pour ca qu'on l'aime. C'est pour ca qu'on le garde... Il n'intervient que lorsque son entourage est triste, ou quand on le réclame. Le reste du temps, il sont "en repos" dirons nous... il survient lors de ruptures ou d'évènement malencontreux. Là il console, il est à l'écoute, il trouve les mots juste pour regonfler le moral à bloc, mais il ne juge surtout pas. C'est pour cela qu'il est sollicité, c'est le vrai ami, le confident, mais les autres n'en ont souvent pas conscience... Quand il parle, c'est qu'il a quelque chose à dire, sinon il se tait. La communication n'est pas son fort. Il rassure par des gestes ou des mots bien choisis. Le sexe opposé le choisit souvent par sécuritéd'avoir toujours quelqu'un à qui se confier plutot que pour ce qu'il est vraiment. La relation amoureuse ne va pas souvent loin, car l'autre préfère garder l'amitié, quite à sacrifier le couple. L'individu B est malheureux, mais personne ne s'en soucie. Il se nourrit des malheurs des autres, car il sait au fond de lui qu'il est bon qu'à consoler les autres. En revanche, quand une personne le remarque pour ce qu'il est vraiment, une magnifique histoire d'amour s'en suit, passionnée, et profonde. Encore faut il qu'il tombe sur cette personne.
On peut donc croire qu'il existe les bons vivants et les aides, les extravagants, et les discrêts, les comiques et les sérieux, les meneurs et les moutons, mais en vérité, tout ca se confond en deux uniques catégories : Ceux qui parlent et ceux qui écoutent. C'est pour cette belle raison que quand on voit deux amis, on a toujours l'impression que l'un a le dessus sur l'autre... L'un agit, l'autre admire...
Je vous invite à présent à vous interroger sur votre place dans ce monde. Qui êtes vous vraiment ? Bien sûr, je ne nie pas qu'il existe des personnes qui receuille les deux qualités, au contraire, j'en suis entouré (ce qui fait que je me sens deux fois plus nul, mais passons). Seules ces personnes là qui concilent et égoïsme, et générosité, sont au comble du bonheur.
Conclusion : Faut que j'apprenne à être égoïste...
et comme je ne peux m'empêcher de penser à tous mes petits moutons qui attendent bien sagement que je reprenne le fil de me articles.
Donc aujourd'hui, petite réflexion philosophique sur le relationnel. On peut classer les gens de pleins de façons différentes mais celle qui me parait la plus pertinente en ce moment est celle ci :
Appelons l'individu A la personne qui parle et l'individu B l'être qui écoute.
L'individu A a un sens de la communication particulièrement développé. Lors de soirées ou de fêtes, c'est lui qui met l'ambiance, qui anime. Certains pourraient le qualifier de joyeux luron. Par conséquent, c'est lui qu'on voit le plus, c'est lui qu'on remarque au premier regard. Les autres s'agglutine autour de lui. Mais l'individu A ne voit son importance validée que dans les moments heureux. C'est dans ces instants qu'on a besoin de lui, qu'on essaie de rester avec lui.
De plus, tout lui sourit. Il sait si bien parler, il manipule tellement bien les mots, que l'amour ne manque pas, l'amitié afflue. L'individu A trouve rapidement quelqu'un avec qui partager sa vie, car, au fond, c'est ça le plus important. Le bonheur est fait pour être partagé... Le soucis, c'est que quand les ennuis arriveront, l'individu A les dédramatisera, il les réduira à néant, faisant des plus immenses montagnes un gravillon, sans pour autant les résoudre. Les bons et les mauvais moments s'enchaineront jusqu'au moment où cela ne pourra plus continuer.
Et c'est à cet instant précis qu'intervient l'individu B. Vous savez ? Celui qui écoute... Il est seul le plus souvent, lui, on ne le comprends pas, on ne cherche pas à savoir ce qu'il ressent, ce qu'il éprouve, ce qu'il aime ou ce qu'il déteste, ce qui va ou ce qui ne va pas. Il a un rôle prédéfini, c'est d'être toujours au service des autres, à l'écoute de ses amis, et c'est pour ca qu'on l'aime. C'est pour ca qu'on le garde... Il n'intervient que lorsque son entourage est triste, ou quand on le réclame. Le reste du temps, il sont "en repos" dirons nous... il survient lors de ruptures ou d'évènement malencontreux. Là il console, il est à l'écoute, il trouve les mots juste pour regonfler le moral à bloc, mais il ne juge surtout pas. C'est pour cela qu'il est sollicité, c'est le vrai ami, le confident, mais les autres n'en ont souvent pas conscience... Quand il parle, c'est qu'il a quelque chose à dire, sinon il se tait. La communication n'est pas son fort. Il rassure par des gestes ou des mots bien choisis. Le sexe opposé le choisit souvent par sécuritéd'avoir toujours quelqu'un à qui se confier plutot que pour ce qu'il est vraiment. La relation amoureuse ne va pas souvent loin, car l'autre préfère garder l'amitié, quite à sacrifier le couple. L'individu B est malheureux, mais personne ne s'en soucie. Il se nourrit des malheurs des autres, car il sait au fond de lui qu'il est bon qu'à consoler les autres. En revanche, quand une personne le remarque pour ce qu'il est vraiment, une magnifique histoire d'amour s'en suit, passionnée, et profonde. Encore faut il qu'il tombe sur cette personne.
On peut donc croire qu'il existe les bons vivants et les aides, les extravagants, et les discrêts, les comiques et les sérieux, les meneurs et les moutons, mais en vérité, tout ca se confond en deux uniques catégories : Ceux qui parlent et ceux qui écoutent. C'est pour cette belle raison que quand on voit deux amis, on a toujours l'impression que l'un a le dessus sur l'autre... L'un agit, l'autre admire...
Je vous invite à présent à vous interroger sur votre place dans ce monde. Qui êtes vous vraiment ? Bien sûr, je ne nie pas qu'il existe des personnes qui receuille les deux qualités, au contraire, j'en suis entouré (ce qui fait que je me sens deux fois plus nul, mais passons). Seules ces personnes là qui concilent et égoïsme, et générosité, sont au comble du bonheur.
Conclusion : Faut que j'apprenne à être égoïste...
Extrait Philosophique d'un fruit pourri.